La terre battue
Ca y’est, c’était avant-hier soir, j’ai vu mon premier rectangle de terre battue et pour moi, c’est synonyme de beaux jours !
Premier tour de l’open de Monte-Carlo, arrivée du printemps ; deuxième semaine de Roland Garros, le soleil est là pour durer. On a la météo qu’on peut !
Ce qui se passe sur la terre battue ne me passionne hélas plus guère. Etant d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, Auteuil en ce temps là… avait d’autres héros. Et pour les nostalgiques (nombreux) de l’époque des raquettes en bois je risquerais une sorte d’inventaire à la Burlington, car, rien qu’à l’évocation de ses noms, les émotions reviennent, juste là, snif :
Premier tour de l’open de Monte-Carlo, arrivée du printemps ; deuxième semaine de Roland Garros, le soleil est là pour durer. On a la météo qu’on peut !
Ce qui se passe sur la terre battue ne me passionne hélas plus guère. Etant d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, Auteuil en ce temps là… avait d’autres héros. Et pour les nostalgiques (nombreux) de l’époque des raquettes en bois je risquerais une sorte d’inventaire à la Burlington, car, rien qu’à l’évocation de ses noms, les émotions reviennent, juste là, snif :
Et puis comme on garde le meilleur pour la fin : Dimanche 5 juin 1983, Yannick, dans les bras de son père, m’offre ma plus belle émotion sportive. Et j’ai la fierté de dire que je n’ai pas été un de ses fan de la dernière heure comme beaucoup ! J’ai toujours adoré ce joueur avec un cœur gros comme ça, se battant sur chaque balle, un gentleman des courts, un gentleman tout court. Merci Monsieur Noah.